Des soft skills pour s’adapter à son environnement
Soft skills. Ce groupe de mots n’est pas simplement un thème à la mode. Pour nous, ils ont du sens et sont au cœur de notre conception du monde. Les soft skills ce sont l’ensemble des compétences interpersonnelles et intrapersonnelles qui permettent à une personne de naviguer efficacement dans l’environnement social et professionnel. Le monde actuel est en perpétuelle mutation et d’autant plus le monde professionnel. Cela requiert de chacun une capacité d’adaptation constante et rapide. Cette adaptation demande des compétences transverses et pérennes. C’est ce qui nous pousse à modéliser ces compétences pour les rendre plus facilement transmissibles et assimilables en entreprise.
Quel avantage cela peut représenter pour vous ?
Adaptabilité
Les collaborateurs évoluent dans des environnements en perpétuelle mutation. Les soft skills les aident à accueillir le changement et à y prendre part.
Collaboration
Dans un contexte de travail de plus en plus collectif, des compétences comme l’écoute active ou l’intelligence émotionnelle renforcent l’efficacité des équipes.
Compétitivité
Les entreprises dotées de collaborateurs maîtrisant les soft skills sont mieux préparées à relever les défis complexes et à se différencier sur leur marché.
Modéliser les soft skills : simplifier l’abstrait
Les soft skills peuvent sembler vagues ou abstraites. De plus, il existe une multitude de listes de soft skills dont les définitions varient.
Chez Cornak, nous explorons jour après jour le vaste potentiel des soft skills et avons mis en place une méthodologie unique pour les modéliser et les rendre accessibles.
Quelles soft skills pour votre entreprise ?
Les soft skills ci-dessous sont toutes des compétences clés pour les entreprises. Elles ont la particularité d’être transverses, c’est-à-dire que l’on peut les utiliser d’un métier ou d’un secteur d’activité à un autre. Pourtant, certaines sont plus appropriées à certaines structures, secteurs ou équipes.
Pour vous, quels sont les soft skills incontournables dans votre entreprise ?
Sélectionnez 5 soft skills et comparez vos résultats.
Assertivité
Collaboration
Intelligence émotionnelle
Force de proposition
Optimisme
Rigueur
Agilité
Empathie
Prise de recul
Persévérance
Bienveillance
Audace
Écoute active
Pédagogie
Résilience
Charisme
Sens du collectif
Conviction
Leadership
Analyse
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Evaluez les soft skills de vos collaborateurs
Afin de vous accompagner de façon encore plus précise, nous avons extrait 7 soft skills de cette liste pour leur caractère fondamental ou parce qu’elles regroupent à elles seules plusieurs autres soft skills. Nous en avons fait un outil d’évaluation permettant de situer vos collaborateurs et de les rendre acteurs de leur propre développement
L’assertivité
L’assertivité est la capacité à bien communiquer en s’affirmant dans le respect de l’autre.
Le mot assertivité vient de l’anglais « to assert » : affirmer, s’affirmer, défendre ses droits, défendre son opinion. Assertiveness peut se traduire en français par affirmation de soi.
Dans le monde professionnel, l’assertivité est une compétence fondamentale car elle permet de faire avancer ses idées de manière douce et efficace.
L’audace
L’audace est une qualité qui permet de passer à l’action. Mais qu’est-ce qui caractérise une personne audacieuse ? Prenons l’exemple de Gustave Eiffel. Comment a-t-il pu aller jusqu’au bout de son projet de Tour pour l’Exposition Universelle de Paris en 1889 ? Son histoire révèle qu’il a patiemment préparé son projet pendant 4 ans. Bien préparé, il a pu surmonter de nombreux obstacles. La personne audacieuse c’est d’abord une personne qui a bien préparé son projet. Mais ça ne suffit pas. Le moment venu, il faut se lancer. Une fois encore, c’est la qualité de la préparation qui permet de se lancer. Un spationaute qui se lance dans l’espace, ou un chirurgien qui se lance dans une opération délicate ont un point commun : ils appliquent leur plan !
Au niveau de la vie professionnelle plus courante, les situations qui requièrent de l’audace existent aussi. Prendre la parole devant une assemblée, donner son point de vue, appeler un client mécontent, s’autoriser à donner un feedback, sont autant de situations qui, selon les personnes, peuvent demander de l’audace.
Capacité d’écoute
Il existe plusieurs niveaux d’écoute.
Le premier niveau consiste à se taire pour entendre et commencer à comprendre l’autre.
Le second niveau se caractérise par un début d’interaction. Par sa posture, on montre à l’autre que l’on se met en disposition d’écoute.
Le troisième niveau, le plus fort, est celui de l’écoute active. Parce qu’on cherche à comprendre l’autre en profondeur, tout notre comportement est actif. C’est le temps de l’interaction maximale tant au niveau de la communication verbale, avec l’usage de questions ouvertes, qu’au niveau de la communication non verbale, avec l’usage des silences par exemple.
Enfin, la capacité d’écoute est également précieuse pour dénouer des situations difficiles, désamorcer des tensions.
La prise de recul
Le monde de l’entreprise fonctionne souvent sur une logique de court terme. Beaucoup de tâches sont « importantes et urgentes » et finalement génératrices de stress. De plus, faute de recul suffisant, les décisions prises dans l’urgence ne sont pas toujours les meilleures.
Et pourtant, un grand nombre de situations professionnelles exigent de prendre du recul :
- La gestion des tensions à chaud dont la première étape consiste à analyser son émotion et celle des autres.
- La gestion d’une tension à froid où il faut prendre du recul par rapport à une situation.
- Le travail en équipe où chaque contributeur doit prendre du recul pour inscrire son action dans un objectif commun et intégrer les objectifs et freins des autres contributeurs.
La résilience
Elle se définit comme la capacité de l’individu à aller chercher ses ressources internes et externes pour s’adapter à la situation et vivre de manière positive et équilibrée.
Dans un monde en constante évolution, les individus manquent de repères. Pour y pallier, nous développons leur résilience.
Polaris
Comment développer son assertivité ?
Cornak propose une méthode en 5 étapes pour développer son assertivité.
Créer une relation de confiance
Le point de départ d’une bonne communication est de s’assurer que son interlocuteur est bien disposé pour échanger. Les techniques pour instaurer la confiance sont celle de l’inclusion et de l’ajustement. Autrement dit, il faut commencer à inclure la personne dans la discussion en s’intéressant à elle et en se mettant à son niveau.
Ecouter avant d’agir
Le fait de laisser l’autre s’exprimer en premier participe également à la relation de confiance. Mais c’est aussi une technique habile pour faire passer plus facilement ses idées. En intégrant la position de l’autre, on peut adapter son discours et être plus percutant.
S’affirmer dans le respect de l’autre
Les techniques d’argumentation sont appropriées pour s’affirmer dans le respect de l’autre. Elles fonctionnent comme une démonstration : commencer par identifier le problème à résoudre, l’objectif à atteindre, puis intégrer les positions de l’autre pour proposer une solution qui satisfasse tout le monde. Idéalement, cette argumentation devra également apporter des preuves factuelles sur la solution proposée.
S’exprimer de manière positive
L’impact d’un message est aussi une question de forme. A commencer par le choix des mots que l’on qualifie de communication verbale. Des mots négatifs, tels que « je ne sais pas », « éventuellement », « peut-être », « problème » peuvent venir parasiter la portée d’un message. En revanche des expressions positives, telles que « solution », « projet », « opportunité », « collaboration », « partage », « talents » sont mieux accueillies.
Il en de même dans la gestion de sa communication non verbale. Certaines positions du corps peuvent appuyer ou au contraire porter préjudice à la portée d’un message. Par exemples, il est préférable de regarder son interlocuteur, de lui sourire, et de veiller à ce que la position de son corps soit tournée vers lui.
Comment développer son écoute ?
Chez Cornak, nous agissons sur 2 niveaux : au niveau du « savoir-faire » en apportant de la méthode et au niveau du « savoir-être » en travaillant sur la posture.
Pour développer un « savoir-faire » autour de l’écoute, nous entraînons les apprenants autour d’une méthode de questionnement pour accroître leur écoute active
Pour développer le « savoir-être », nous faisons travailler la posture d’empathie. Cette dernière est la capacité à se mettre à la place de l’autre. Certaines personnes ont des dispositions naturelles à l’empathie. Mais c’est aussi une posture qui se travaille par l’entraînement.
Comment développer son audace ?
Cornak propose une méthode en 5 étapes pour développer son audace.
Identifier son émotion
Je reconnais que j’ai peur. C’est normal. Je l’accepte.
Lister les risques et les bénéfices du passage à l’action
Je liste tous les risques et tous les bénéfices.
Supprimer les risques non rationnels
Je supprime tous les risques émotionnels qui ne sont pas rationnels (il va mal le prendre, ce n’est pas le bon moment, etc.). Ces risques non rationnels sont des phénomènes naturels de notre cerveau qui nous protègent contre un excès de témérité.
Établir un plan d’action et visualiser chacune des étapes
Je simplifie une action qui semble insurmontable (« gravir une montagne ») en une succession de petites tâches facilement réalisables (« mettre un pas devant l’autre »).
Accepter son émotion et se lancer
Je me concentre sur le 1er geste à réaliser, puis le second … ça y est, je suis lancé !
Et se féliciter après chaque réussite, même petite, pour s’encourager à sortir de sa zone de confort. L’audace se travaille dans la durée. Plus on ose, plus on devient audacieux.
Comment développer son écoute ?
Chez Cornak, nous agissons sur 2 niveaux :
1 – Le savoir-faire en apportant de la méthode
2 – Le savoir-être en travaillant la posture
Pour développer un « savoir-faire » autour de l’écoute, nous entraînons les apprenants autour d’une méthode de questionnement pour accroître leur écoute active.
Pour développer le “savoir-être”, nous faisons travailler la posture d’empathie. Cette dernière est la capacité à se mettre à la place de l’autre. Certaines personnes ont des dispositions naturelles à l’empathie. Mais c’est aussi une posture qui se travaille par l’entraînement.
D’après toutes les personnes qui ont répondu à ce sondage, voici les cinq softs skills les plus plébiscitées :
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Les soft skills, pour qui ?
Un jeune actif qui rentre sur le marché du travail pourra s’appuyer sur ses soft skills pour s’adapter à son nouvel environnement.
Un collaborateur en activité aura besoin de soft skills pour évoluer vers d’autres postes.
Les managers ont besoin de soft skills pour encadrer, motiver, accompagner le changement.
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